@Mines ParisTech, Jean Duong
Après deux longues années, le programme ATHENS est de retour à Paris – et dans neuf autres capitals. Près de 300 étudiants internationaux sont venus dans la capitale française pour suivre un cours intensif de courte durée dans une des écoles parisiennes. Au total les écoles parisiennes accueillent presque 1000 étudiants dans un de leurs 44 cours.
Cela faisait longtemps que l’amphithéâtre de Mines ParisTech n’avait pas entendu résonner autant de langues étrangères différentes. Samedi 13 novembre, à chaque coin, on pouvait entendre parler anglais, roumain, turc, italien, français, allemande, espagnole… Le programme ATHENS est de retour à Paris avec près de 300 étudiants internationaux venant des quatre coins d’Europe dans la capitale française. Leur objectif ? Suivre un des 44 cours proposés par les partenaires parisiens, côtoyer les étudiants français et découvrir Paris et la culture française.
Ils ont été accueillis à Mines ParisTech par Florence Lelait, déléguée générale de ParisTech, Laura Tierling, coordinatrice générale du programme ATHENS, et plusieurs élèves des écoles françaises. Après une introduction sur l’histoire de ParisTech et le programme ATHENS, coordonné par Mines ParisTech au nom de ParisTech, les étudiants internationaux ont eu l’opportunité de goûter à une partie bien connue de la culture française : pendant qu’ils découvraient fromages et vins, la fanfare de Mines ParisTech les accompagnait en musique. Ensuite ils ont eu le reste du week-end pour découvrir Paris, soit par eux-mêmes, soit en participant aux activités organisées par les élèves français.
Pendant une semaine, tous les participants d’ATHENS suivront un des 71 cours proposes par 9 partenaires européens et 7 partenaires français du programme. Les candidats devaient choisir parmi les cours intensifs de haute qualité proposés par :
et les écoles parisiennes suivantes :
Les cours couvrent une grande variété de contenus, des Méthodes de mesure 3D en transport à l’Economie circulaire et l’éco-conception : étude de cas “Mines urbaines”.
ParisTech coordonne le réseau ATHENS et se réjouit qu’autant de partenaires participent à la session de novembre. L’intérêt des étudiants leur donne raison : plus de 1600 candidatures ont été déposées, un signal clair que la pandémie n’a pas eu d’impact négatif sur l’Espace Européen de l’Enseignement Supérieur. Florence Lelait, représentante de ParisTech, a déclaré : “Il était clair que nos étudiants et ceux des partenaires ATHENS étaient dans les starting-blocks pour vivre de nouveau cette expérience ATHENS, même dans ces circonstances. Cela met en lumière leur désir de bénéficier d’une formation internationale de grande qualité fournie par des établissements d’enseignement supérieur européens d’excellence. Nous sommes heureux qu’ATHENS ait surmonté cette période difficile et tienne bon, comme toujours.”
Le réseau ATHENS a réussi à s’adapter dans cette situation difficile causée par la pandémie. Quelques sessions ont dû être annulées afin que le réseau se réorganise et afin que la santé des étudiants et des personnels soit protégée. Quoi qu’il en soit, les partenaires ont réussi à maintenir le réseau en proposant des cours en ligne ou en format hybride, et en proposant quelques activités sociales en ligne, par exemple une visite guidée virtuelle de Madrid. En novembre, pour la première fois depuis le début de la pandémie, les étudiants avaient de nouveau la possibilité de voyager.
Entretemps, le réseau ATHENS n’est pas resté en suspens : les partenaires ont travaillé sur de nouveaux formats de cours, des conférences hybrides et la mise en oeuvre des “Blended Intensive Programmes” sont en cours de conception. A suivre !